L'épopée de Louve

Louve était une jeune Rodeuse dont la beauté n'avait d'égale de sa sagesse, son incroyable générosité et son courage frisant parfois l'inconséquence... Du moins, c'est là le modèle qu'elle s'était depuis toujours astreinte à suivre... En effet Louve était une enfant trouvée des années auparavant dans la forêt et, recueuillie par la rugueuse tribu des guerriers Sodan, elle eut encore moins d'égards que ceux de ses compagnons qui avaient des parents... Aussi, avait-elle décidé de faire reconnaitre ses mérites à tous; son but ultime était que l'on s'aperçoive de son existence en tant que combattante aguerrie et pour cela, elle s'astreignait à une discipline de fer.

Ne trouvant aucune aide du coté des humains, elle se tourna donc vers la Nature et avec le temps, elle devint si discrète que l'on l'appela la Marchombre. En effet son attaque semblait provenir de nulle part, elle semlait si vive et souple qu'on peinait parfois à la suivre des yeux... La rumeur disait que Louve n'était pas humaine, qu'elle devait avoir une part de sang elfe... Et le fait est que son contact avec la Nature lui donnait d'étranges pouvoirs...

Et puis un matin, elle revint accompagnée de l'un de ces animaux si difficiles à apprivoiser, les Félins de Melandru. Ainsi s'affirmait elle comme protégée de la déesse.

louve n'avait pas conscience de tout cela, pour elle, le seul moyen de se faire respecter de tous consistait à faire, un jour, une action d'éclat. Sauver le village à l'instar du chef de clan dix ans plus tot, Hokage, le quatième, eut été un exellent moyen, mais son coeur était pur et jamais l'idée de provoquer une telle situation - une situation désespérée - n'aurait effleuré son coeur.

Mais pendant ce temps le maitre Hokage l'observait et notait ses progrès. Louve et Isamaru semblaient liés par un lien incroyable, ils semblaient n'être qu'un... Cette jeune fille fière et indomptable était cependant très respectueuse des règles... qu'elle approuvait.

Un jour Hokage la jugea prête et la fit venir devant lui et alors, du respect, elle passa à une quasi vénération, car elle comprenait enfin, en le voyant de près, ce que le titre de Hokage signifiait. Cet homme - mais en était-ce vraiment un? - semblait un roc inébranlable, où sommeillait cependant une énergie comparable à celle d'une tempête, et de lui émanait une aura presque invraiscemblable...
Et voici ce qu'il dit:

Louve, le moment est venu de ton initiation... Oui, jeune Marchombre, tu m'as bien entendu, voici venu le moment que tu attendais depuis si longtemps...
Mais, Maitre, quelle est elle, cette initiation?
Tu devras accomplir ce qui t'est le plus cher au mon, ce qui te tient le plus à coeur...

Alors, dans le coeur de Louve, s'éveilla un sentiment enfoui depuis longtemps: le désir de vengeance. Comme l'avait prévu le chef Sodan, car celui-ci entretenait des relations privilégiées avec les Valar, les Puissances du Monde et il savait que jamais Louve ne serait en paix avant que cela ne soit fait... Oui, il le savait...

Alors, jeune fille, connais tu ton désir le plus secret?
Je le connais, Maître...

A SUIVRE...

Louve devait une fois pour tout se débarasser de ce sentiment d'impuissance qui la rongeait et la poussait à risquer sa vie chaque fois que cela était possible, sinon jamais elle n'atteindrait l'Illumination... La plénitude de son être... Et elle devait aussi se venger, venger ses parents. Elle savait sa chance grande d'être arrivée chez les fiers Sodan à l'age de quatre ans, mais le meurtre de ses parents l'obsédait...

Le maître Hokage lui dit encore:
Sais tu qui est à l'origine de ce désir?
Non,, Maitre, mais... comment... savez-vous...?
Mais, mon enfant, c'est parce que je suis le Hokage...
...
L'assasin de tes parents... Oui, je le connais. Je vais même te dire son nom.
Oui, dites-le moi! Que je le tue sur le champ!
Pas tant d'empressement, jeune louve...
Mais je...
Ce ne sera pas aussi facile que tu sembles te l'imaginer... Ce sera même l'épreuve la plus difficile de ta jeune vie...

Qu'est-ce que cela signifie?, se demanda-t'elle,Me cacherait il quelque chose?
Et si c'était lui, le meutrier...

Quel est ce nom que vous tardez tant à me donner? Dites-le, ou je vous tiendrai responsable!
Tant de violence, soudain... En effet, tu souffres depuis trop longtemps...

Ce nom est isefet, la tendance implacable à la destruction, l'opposée de Maat, que seule la Règle peut combattre...

!!!! Que... comment ça???
Oui, tu m'as bien entendu, le Mal prit corps il y a douze ans pour assassiner tes parents, qui t'ont envoyée au loin car tu étais la seule à pouvoir le combattre... Mais pas encore... Pas avant ta formation et pas si jeune... Le moment est venu.
Louve resta bouche bée devant ces déclarations
Alors je dois... détuire le mal?
En effet.
Mais... Mais...
Oh, il renaitra, reprendra corps... Il en est toujours ainsi depuis le début des temps et il en sera ainsi jusqu'à la fin...

Tétanisée, Louve pensa alors qu'il aurait été plus facile de tuer le Hokage à coups de cure dents.
Isefet... rien que ça? Et je fais comment?
Ah, mais ça, c'est à toi de trouver... Un petit indice tout de même...
Oui?
Si tu détruits suffisamment des légions du mal, tu te nourriras de tes victoires et cela te rendra plus forte, tandis qu'isefet s'affaiblira.
Alors je dois partir pour combattre les Légions noires.
En effet.

Le lendemain, Louve n'était plus là.

A SUIVRE...

Au moins, je sais que je suis pas le seul à me droguer à la sauce christian jacq ou pire, aux mythes égyptiens.

Maat et Isefet, mon grand délire cosmique à moi, Horus, fils d'Osiris et d'Isis, incarnant le principe du bien.

Rien que pour ca, ton histoire était bien !

OUAAAIIS!!! Je ne suis pas la seule!!!!!! Merci Horus^^

RIEN QUE POUR CA, JE T'ADOOOOOORE!!!

snifff, moi qui croyais être condamnée pour l'éternité à être seule au monde à lire C.J. ...

En passant, voici une petite liste des références:

-les Sodan, qui conforteront l'opinion de Zarine selon laquelle je suis une

Citation :

spece de StarGate addict!

, tout comme le "en effet" bien connu de Teal'c...
-Aaaaah, Naruto! Les références à ce manga d'exeption sont nombreuses: l'assassinat est inspiré de celui des parents du jeune Sasuke Uchiwa de même que le désir de vengeance de celui ci, bien que ce désir soit chez Louve plus réfréné, et après il y a le Hokage bien sùr...
-Sur Cristian Jacq tu as tout dit Horus et je t'en remercie ça me dispense de le dire
-Après il y a la référence à "la quète d'Ewilan", avec la Marchombre...
-Et bien sur le Silmarillion, avec les Valar.

voila, c'est tout (pour l'instant)

Isefet, opposée de Maat, la tendance implacable à la destruction, nourrie en permanence par d'innombrables vecteurs de pourriture et d'avidité, que seule, la Règle, pouvait combattre... Matérialisée en cet instant par la troupe de Charrs se battant contre les chevaliers d'Ascalon, bataille que Louve contemplait en cet instant du haut du Grand Rempart Nord. Le Bien et le Mal...

Louve se retourna pour contempler la champ de ruines couvert de suie qu'était devenue la belle contrée d'Ascalon. Elle inspira à fond et tenta de se remémorer les champs verdoyants et la fraicheuur des bosquets, le bruit des rivières et le pépiement des oiseaux... Elle n'y parvint pas. Tout n'était que misère, désolation, et en fait de pépiements joyeux, on entendait surtout les grognements des Charrs... Etait il possible qu'ici, si près de la vallée qui depuis toujours cachait les Sodan, il y eut une telle dévastation?
reprends-toi, ma fille, se morigéna-t'elle, il serait plus intelligent de ta part de les faire taire, ces grognements, plutot que de te remémorer cette campagne telle qu'elle l'était. N'est-tu pas venue casser du Charr? Eh bien, fais le donc!

Louve la Marchombre se jeta vers les Charrs avec un cri sauvage, encochant déja une flèche empoisonnée à son arc et ne comprit que trop tard que ce cri allait bien pouvoir lui ôter la vie... Avant d'avoir éliminé le maitre de ces bêtes? Jamais!

D'après le Hokage, isefet avait pris corps quelques années auparavant, vers la fin des Guerres des Guildes, quand les Charrs avaient commencé l'assaut des peuples humains... Le Cataclysme d'Orr... Tout cela pouvait bien avoir été provoqué par isefet...

Et elle devait vivre pour anéantir cette chose immonde...!

Louve décocha une flèche, puis plusieurs autres au rythme de d'une toutes les deux secondes. La précision était extrème car elle n'avait pas besoin de viser, elle était la flèche. Un concept qi pouvait araitre abstrait, mais qui n'en démontrait pas moins son efficacité.

Cependant, la lutte était inutile. Elle s'était lancée dans un combat perdu d'avance. A présent, plus d'issue possible. Pas question de fuir. Si elle devait mourir, Louve emporterait le plus de Charrs possible avec elle.

A SUIVRE...[/i]

J'avoue que je suis agréablement surpris par tes références, pour une petitote de 15 ans, je suis béat d'admiration. Tu mérites bien ta place parmis les officiers de la guilde !

Je précise pour ceux qui ne connaisse pas les maximes du sage Ptah Hotep, quelques notions pratiques (qui n'ont parfois rien à voir avec la choucroute) :

1 - J'aime pas Naruto, visuellement c'est moche si comme moi tu avais pratiqué le nin jutsu, bah tu rigolerais sec. Si tu aimes les mangas (on va bien s'entendre) je te propose plutôt Ruroni Kenshin (Kenshin le vagabond) ou encore Pace Maker, X de Clamp, Black Lagoon ou Bleach.

2-Maât, est représentée par le symbole hiéroglyphique de la plume. (La même que l'on met sur la balance céleste pour peser lors du jugement de l'âme des défunts). Maât est aussi la loi, la vérité, la force intangible qui donne à chaque chose sa place. Elle est fille de Rê, (à ne pas confondre avec moi, Horus). Elle symbolise également l'offrande par laquelle le vivant communique avec le dieu.

3- Bon, si vous croisez un ancien, n'hésitez pas à lui dire qu'avec mon unique neurone l'ascension risque d'être dure.

4- Bon mes précisions servent pas à grand chose si ce n'est à commenter de façon conne ton très bon texte.

Continue comme ca.

Merci ^^
et merci pour tes conseils à propos des mangas, par contre sur Maat, mon orgueuil insondable présume que c'était pour les autres que tu les disais (lol). Je précise que selon la langue égyptienne, il était possible de "faire Maat, se nourrir de Maat(ou de la Règle)...", ceci en agissant en rectitude et là on était un Juste de voix, oui, je sais, je suis à fond dans Les mystères d'osiris, mais que veux tu... Bon, je vais m'arrêter et reprendre mon massacre de Charrs là ou je l'ai laissé sinon on est encore là demain.

Mort à l'Annonciateur!!!

Citation :

Tais-toi, avorton, et vénère la mémoire d'un héros qui a donné sa vie pour protéger ton sommeil.

AAAH, j'adore cette phrase!!!
Je vénère ce mec!

Hi hi hi, au fait tu ne connaitrais pas StarGate?

Quand à ton unique neurone, ne t'inquiète pas pour lui:

"La parole parfaite est plus cachée que la pierre verte,
On la trouve pourtant auprès des servantes qui travaillent à la meule.
Prends conseil auprès du sage comme de l'ignorant,
Et je ne me souviens plus du reste, désolée, mais là, de tête..."
PTAH-HOTEP, maxime 39.

Tiens voilà pour les ignorants un léger texte sorti tout droit de mes archives, traduction complète trouvée chez les Egyptomaniaques et participants (dont je suis) du PROJET ROSETTE : SAVOURE LOUVE;

Les maximes de la parole accomplie:

Début des maximes de la parole accomplie, qu’a prononcée le noble, le chef, le père divin, l’aimé du dieu, le fils aîné de pharaon, de son corps, le chef de la ville, le vizir Ptah-Hotep , en enseignant la connaissance à l’ignorant, et la loi de la parole accomplie ; voilà ce qui est lumineux pour qui entendra, mais nuisible pour qui passera outre.

MAXIME 1 :
De l'humilité et la découverte des parole parfaite.
Il dit à son fils : Que ton cœur ne soit pas vaniteux à cause de ce que tu connais ; prends conseil auprès de l’ignorant comme auprès du savant, car on n’atteint pas les limites de l’art, et il n’existe pas d’artisan qui ait acquis la perfection. Une parole parfaite est plus cachée que la pierre verte ; on la trouve pourtant auprès des servantes qui travaillent sur la meule.

MAXIME 2 :
De l'art du débat avec un supérieur.
Si tu rencontres un débatteur en action, qui dirige son cœur et qui est plus habile que toi, plie tes bras et courbe ton dos ; ne sais pas ton cœur contre lui car tu ne l’égaleras pas. Puisses tu abaisser celui qui s’exprime mal en ne t’opposant pas à lui lorsqu’il agit ; c’est ainsi qu’il sera désigné comme un ignorant dès que ton cœur aura supprimé sa surabondance.

MAXIME 3 :
De l'art du débat avec un égal.
Si tu rencontres un débatteur en action, ton égal, celui qui est à ton côté, agis en sorte que ta supériorité sur lui se manifeste par le silence, alors même qu’il parle mal. Ceux qui l’écoutent penseront beaucoup de mal de lui, alors que ton renom sera parfait dans l’esprit des grands.
MAXIME 4 :
De l'art du débat avec un inférieur.
Si tu rencontres un débatteur en action, un homme de peu qui n’est certes pas ton égal, que ton cœur ne soit pas agressif contre lui à cause de ta faiblesse. Place le à terre, et il se punira lui-même. Ne lui réponds pas pour soulager ton cœur, ne lave pas ton cœur à cause de celui qui s’oppose à toi. Misérable est celui qui fait du mal à un homme de peu. On désire agir conformément à ce que tu désires et tu le frapperas de la désapprobation des grands.

MAXIME 5 :
De l'art d'être un chef en respectant la règle.
Si tu es un guide, chargé de donner des directives à un grand nombre, cherche, pour toi, chaque occasion d’être efficient, de sorte que ta manière de gouverner soit sans faute. Grande est la règle, durable son efficacité. Elle n’a pas été perturbée depuis le temps d’Osiris. On châtie celui qui transgresse les lois, même si cette transgression est le fait de celui au cœur rapace. L’iniquité est capable de s’emparer de la quantité, mais jamais le mal ne mènera son entreprise à bon port. Celui qui agit mal dit : j’acquiers pour moi-même ; il ne dit pas : j’acquiers au bénéfice de ma fonction. Quand vient la fin, la règle demeure. C’est ce que dit un homme juste : tel est le domaine de mon père spirituel.

MAXIME 6 :
De la vanité des manoeuvres humaines.
Ne te livre pas à une machination contre l’espèce humaine, car dieu châtie pareil agissement. Qu’un homme dise « je vivrai ainsi », et il sera privé de pain pour la bouche. Qu’un homme dise « je serai riche », et il dira ensuite « mes perceptions m’ont piégé » . Qu’un homme dise « je vais voler autrui » et, en fin de compte, il fait un don à celui qui ne connaît pas ! Les manoeuvres du genre humain ne s’accomplissent pas, c’est ce que dieu ordonne qui s’accomplit. Pense à vivre en paix avec ce que tu as et ce qu’ils donnent viendra de soi-même.

MAXIME 7 :
Des manières de tables.
Si tu es un homme qui fait partie de ceux qui sont assis à table d’un plus grand que toi, accepte ce qu’il donne, de la manière dont cela sera placé devant ton nez. Regarde ce qui est devant toi, ne te disperse pas par quantité de regards ; c’est l’abomination du ka que d’être harcelé. Ne lui adresse pas la parole avant qu’il ne t’appelle ; on ne sait pas s’il est en mauvaise disposition du cœur . Parle lorsqu’il s’adresse à toi, et que ton discours rende le cœur heureux. Quant au grand, assis derrière les pains, que son comportement se conforme à la directive de son ka. Il fera un don à celui qu’il distingue ; c’est la coutume à la tombée de la nuit. C’est le ka qui étend ses bras. Le grand fait un don à celui qui a atteint la condition d’homme de qualité. Les pains sont mangés conformément à la volonté de dieu, c’est l’ignorant qui s’en plaindrait.

MAXIME 8 :
Du respect de la mission confiée.
Si tu es un homme de confiance, qu’un grand envoie à un grand, sois tout à fait scrupuleux quand il t’envoie ; transmets pour lui le message comme il l’a formulé, garde toi de forcer sur les mots, de peur de brouiller un grand avec un grand. Tiens t’en fermement à la règle, ne l’outrepasse pas ; le lavement du cœur ne doit certes pas être répété. Ne parle contre personne, grand ou petit, c’est l’abomination du ka.

MAXIME 9 :
Du nécessaire silence du riche et de l'heureuse destinée de qui n'a pas d'enfants.
Si tu laboures, et si la croissance s’effectue dans le champ, parce que dieu la donne en abondance dans ta main, n’en aie pas plein la bouche auprès de ton voisinage, car l’on éprouve un grand respect pour le silencieux. Si un homme de caractère est possesseur de biens, il accomplit l’acte de posséder comme un crocodile, même dans la cour de justice. Ne pose pas de réclamation pour qui est sans enfants, ne critique pas le fait de ne pas en avoir, n’émets pas de vantardises sur le fait d’en avoir ; il y a maint père dans l’affliction, de même que mainte mère qui a enfanté, alors qu’une autre sans enfant est plus sereine qu’elle. C’est celui qui est seul dont dieu permet la mutation, alors que le patron d’un clan familial prie avec anxiété pour qu’on prenne sa suite.

MAXIME 10 :
De la nécessité de placer sa confiance en un être de qualité.
Si tu es un faible, suis un homme de qualité, digne de confiance ; toute ta conduite s’en trouvera bien vis-à-vis de dieu. Si tu apprends que cet homme était auparavant d’humble condition, n’aie pas le cœur arrogant à son égard, à cause de ce que tu sais de sa condition antérieure. Crains le avec respect conformément à ce qui est advenu de lui, car les choses ne viennent certes pas d’elles mêmes. Quant à l’opulence, que l’homme de qualité l’obtienne lui-même. C’est dieu qui fait qu’il soit un être de qualité et qui le protège, même quand il dort.

MAXIME 11 :
De la nécessité de suivre le coeur et de ne pas gaspiller son énergie dans les tâches matérielles.
Suis ton cœur le temps de ton existence, ne commets pas d’excès par rapport à ce qui a été prescrit, n’abrège pas le temps de suivre le cœur. Gaspiller son moment d’action est l’abomination du ka. Ne détourne pas ton action quotidienne de manière excessive pour l’entretien de ta maison. Adviennent les choses, suis le cœur ; les choses ne profiteront pas au négligent.

MAXIME 12 :
Du comportement envers un fils spirituel.
Si tu es un homme de qualité en qui on peut avoir confiance, puisses tu façonner un fils spirituel avec la faveur de dieu. S’il est en rectitude s’il se conforme à ta manière d’être, et s’il prend soin de tes biens en bon ordre, accomplis pour lui toute sorte de bonté. C’est ton fils, il appartient à la semence de ton ka. Ne sépare pas ton cœur de lui. Mais la semence d’un homme peut engendrer le conflit. S’il va dans la mauvaise direction, s’il transgresse tes recommandations, et désobéit de manière insolente à tout ce qui est dit, si sa bouche débite des paroles méprisables, chasse-le, il n’est pas ton fils. Mets le au travail pour la totalité de son discours. Lui qui s’est montré hostile envers toi subira leur défaveur, une entrave lui fut infligée alors qu’il se trouvait dans le ventre. Celui qu’ils guident ne peut pas s’égarer, celui qu’ils privent de barque n’aura pas la possibilité de traverser.

MAXIME 13 :
De l'attitude à la cour de justice.
Si tu te trouves dans le porche où l’on rend la justice, soit debout ou assis, conformément à la procédure, qui te fut ordonnée le premier jour. Ne force pas le passage, tu seras repoussé. Perçante doit être la vue de celui qui entre après avoir été annoncé, large est le siège de celui qui fut appelé. Le porche où l’on rend la justice est conforme à la rectitude ; toute conduite doit être conforme au fil à plomb, c’est dieu qui avance le siège. Ne seront pas installés ceux à qui on prête trop l’épaule.

MAXIME 14 :
Du coeur qui rend heureux et du ventre qui condamne au malheur.
Si tu es en compagnie de gens, procure toi des alliés en tant qu’homme digne de confiance qui atteint le cœur ; celui qui atteint le cœur est celui qui ne contourne pas le langage dans son ventre. Il deviendra un homme qui commande lui-même, un possesseur de bien grâce à son comportement. Que ton renom soit bon sans que tu en parles. Ton corps sera nourri, ton visage se tournera vers tes proches, et l’on t’offrira ce que tu ignorais. Le cœur de celui qui écoute son ventre disparaît ; il suscitera à son égard, le dédain au lieu de l’amour. Le cœur sera dénudé et son corps ne sera pas oint. Celui au grand cœur est un don de dieu, celui qui obéit à son ventre obéit à l'ennemi.

MAXIME 15 :
De l'art de communiquer.
Transmets tes directives sans avaler le cœur, et donne ton avis dans le conseil de ton maître. S’il s’exprime d’abondance, il ne sera pas difficile au messager de faire son rapport, et il ne lui sera pas répondu : « qui est donc celui qui est informé ? ». En ce qui concerne le grand, ses biens péricliteront s’il pense à le punir à cause de cela, aussi se taira-t-il en concluant « j’ai dit ».

MAXIME 16 :
De l'art de gouverner.
Si tu es un guide, que ta manière de gouverner voyage librement au moyen de ce que tu as ordonné. Tu dois accomplir des choses élevées. Songe aux jours à venir ensuite, qu’un malheur ne survienne pas au milieu des faveurs ; comme un crocodile émerge, la défaveur se produit.

MAXIME 17 :
De la nécessité d'écouter les requêtes.
Si tu es un guide, écoute sereinement le discours de celui qui t’adresse une requête ; ne le repousse pas, jusqu’à ce qu’il ait purgé son ventre de ce qu’il songeait à dire. Celui qui est accablé d’injustice désire que son cœur soit lavé, plus que la réalisation de ce pourquoi il est venu. Quant à qui repousse celui qui adresse des requêtes, on dira « pour quelle raison les rejette-t-il ? » Il n’est pas possible que toutes les requêtes aboutissent, mais une bonne écoute aplanit le cœur.

MAXIME 18 :
Du danger de la séduction.
Si tu désires faire durer l’amitié, dans une demeure où tu as tes entrées, comme maître, comme frère ou comme ami, ou en tout lieu où tu as tes entrées, garde-toi de t’approcher des femmes. Ce n’est pas bon là où le fait se produit. La vue n’est jamais assez aiguisée lorsqu’elle les repère. Des milliers d’hommes se sont détournés de ce qui leur est profitable. Un court instant de plaisir, semblable à un rêve, et le mort t’atteindra pour les avoirs connues. C’est une mauvaise maxime que : « lance un trait contre l’adversaire » ; quand on s’apprête à agir ainsi, que le cœur écarte cette intention. Quant à celui qui échoue continuellement en les convoitant, aucun de ses dessins ne réussira.

MAXIME 19 :
De l'avidité : mal incurable.
Si tu désires que ta conduite soit bonne, délivre toi de tout mal ; combats toute occasion d’avidité de cœur. L’avidité est la maladie grave d’un incurable ;Y pénétrer est impossible. L’avidité sème le malheur parmi pères et mères, et parmi les frères de la mère, elle sépare l’épouse du mari. L’avidité est la réunion de toutes les sortes de mal ; c’est un sac qui contient tout ce qui est haïssable. L’homme est posé s’il applique correctement la règle, et va son chemin conformément à la marche à suivre. Aussi fera-t-il l’état de ses biens, alors que l’avide de cœur n’aura pas de tombe.

MAXIME 20 :
De la juste attitude envers l'avoir.
Ne sois pas avide de cœur en ce qui concerne le partage des biens, ne sois vorace que de tes biens personnels. Ne sois pas avide de cœur envers tes proches ; plus ample est la juste revendication de l’homme doux que celle injuste de l’homme rude. Ce dernier, bien peu échoit de ses proches, car il est privé de ce qu’apporte la parole. Un peu d’avidité suffit à faire naître l’esprit de querelle chez l’homme au ventre froid.

MAXIME 21 :
De l'amour et du respect dus à l'épouse.
Si tu es un homme de qualité, fonde ta demeure, aime ton épouse avec ardeur, remplis son ventre, habille son dos, l’huile est un remède pour son corps. Allonge son cœur le temps de ton existence. Elle est une terre fertile, utile pour son maître. Ne décide pas pour elle, éloigne la du puissant qui la spolierait. Son œil est le vent ; regarde la, et tu la feras rester dans ta maison. Si tu la repousses, voici les larmes ! Le vagin est l’une de ses formes d’action ; ce qu’elle impose, c’est que soit fait pour elle un canal.

MAXIME 22 :
De la nécessité de satisfaire ses familiers.
Satisfais tes familiers en qui tu as confiance, au moyen de ce qui t’advient : tel est le destin de celui que dieu favorise. De celui qui faillit sans cesse à satisfaire ses familiers en qui il a confiance, on dira « c’est un ka trop satisfait de lui même ». L’avenir est inconnu, même si on a l’intuition de demain. C’est une puissance créatrice, la juste puissance créatrice qui s’en satisfait. Si sont accomplis des actes dignes de louange, les familiers dignes de confiance disent : « bienvenue ! » Lorsqu’on ne procure pas la paix à la ville, on devra amener des familiers si se produit une calamité.

MAXIME 23 :
Du refus de la rumeur.
Ne répète pas une rumeur médisante, ne l’écoute pas. C’est la manière de s’exprimer de celui qui a le ventre brûlant. Si nécessaire, répète la mauvaise affaire que tu as vue et pas seulement entendue. Que la rumeur médisante soit jetée à terre, n’en parle absolument pas. Vois celui qui te fait face reconnaîtra ta qualité. Qu’il soit ordonné de se saisir des conséquences de la rumeur médisante ; ne naîtra que la haine, conformément à la loi, contre qui s’en emparerait pour l’utiliser. Vois il s’agit de détruire une sorte de mauvais rêve ; protège t’en.

MAXIME 24 :
Du bon usage de la parole.
Si tu es un homme de qualité en qui on a confiance, qui siège au conseil de son maître, rassemble tout cœur vers la perfection. Sois silencieux, c’est plus utile que le bavardage. Parle seulement quand tu sais que tu apporteras une solution ; il doit être un artisan, celui qui parle dans le conseil ; parler est plus difficile que tout autre travail. C’est celui qui interprète cette maxime qui donne autorité à la parole.

MAXIME 25 :
De la vraie puissance et de la maîtrise de soi.
Si tu es puissant, agis en sorte que l’on te respecte, en fonction de la connaissance et du calme du langage. Ne donne d’ordres que lorsque les circonstances l’exigent. Celui qui provoque de manière belliqueuse s’engage dans une mauvaise action. Ne sois pas vaniteux, tu ne seras pas abaissé. Ne sois pas vaniteux, mais garde toi de fouler aux pieds, et de répondre à une parole avec flamme. Détourne ton visage, contrôle toi, les flammes d’un individu au cœur bouillant le déprécient. Pour l’être rayonnant qui avance, le chemin est construit. Celui qui est triste de cœur, la journée durant, n’accomplira aucun mouvement heureux. Celui qui est frivole de cœur ne fondera pas de demeure. Celui qui atteindra une plénitude est comme celui qui tient le gouvernail, au moment de toucher terre. L’autre est fait prisonnier. Celui qui obéit à son cœur sera en ordre.

Je posterais les 25 autres plus tars, ca dépasse la limite de post autorisé

lol, je ne m'étais pas trompée au moins? Tu sais, ma mémoire...

lol, qu'est ce qu'elles ont de mal, les traductions by C.J.?

Louve tirait flèche sur flèche, mais cela ne suffisait pas; les Charrs étaient trop nombreux. Son arc lui permettrait tout au plus de mourir la tête haute; la ruse, elle, était désormais la seule technique apte à lui sauver la vie.
C'est pourquoi ce serait celle qu'elle emloierait.

Là, Louve avait la flemme, alors son histoire fait cinq lignes, alllez on se laisse pas abbattre.

Hum, en fait, je me suis simplement fait virer...

Louve avisa alors une caisse en bois; son sang ne fit qu'un tour, elle attrapa le récipient et le lança sur la tête du Charr avec une telle force que le fragile coffre se brisa, dévoilant une épée et un bouclier. Elle attrapa ces objets providentiels et se mit à tournoyer au milieu des Charrs, telle un feu follet, tranchan des gorges et fracassant les cranes à grand renfort de Pavois de la tour...

Elle dut combattre ainsi plus d'une heure, mais il semblait que les Charrs arrivaient de partout, et son statut de Marchombre ne la sauverait pas éternellement...

C'est alors que la première flèche siffla à ses oreilles.

Et merde.
Voilà ce que pensa Louve en entendant siffler cette flèche. C'est ballot, hein, j'avais presque une chance de les vaincre, avec Isamaru, et voilà, il y en a d'autres qui arrivent... Tsss.

La flèche se planta droit dans la gorge d'un Charr levant sa hache d'armes au dessus de sa tête.

Trop stupéfaite et trop fatiguée pour réagir, Louve planta son épée dans le ventre d'un Charr, attendant la prochaine flèche qui, elle, lui couterait la vie.

Celle ci embrocha un autre Charr.

Louve leva les yeux et, perchée sur une hauteur, elle découvrit non pas un Charr mais une silhouette humaine! Un lynx était en train de dévaler la pente et, d'une détente prodigieuse, sauta sur un Charr, déséquilibrant celui ci et libérant ainsi son cousin.

Une autre Rodeuse! pensa Louve, Sauvée!

Hélas, cet instant d'inattention permit à l'un des monstres de lui arracher une large plaque de peau au ventre; la blessure n'étant pas mortelle -du moins pas tout de suite-, elle décida de traiter la douleur par le mépris, laissant tout juste échapper un petit cri de surprise. L'angle de tir de son alliée providentielle maintenant établi, les flèches volaient en tous sens; L'espoir provoqué par la présence de l'un de leur congénères provoqua une poussée d'adrénaline dans le corps de Louve et, au prix d'un effort surhumain, ils anéantirent la troupe de Charrs.

Epuisée, Louve se laissa tomber sur le sol. Les Charrs morts, autour d'elle. Le sentiment de triomphe. La douleur. L'autre Rôdeuse se précipitant vers elle. Puis tout devint noir.

Oui, je sais, les épisodes sont de + en + courts...

Ah, mais c'est que, bon... bref... voilà, quoi!

Réveille-toi.

Louve ouvrit les yeux... Pour les refermer aussitot. Une vague de douleur se diffusait sous son crâne aussi sûrement qu'un acide et la lumière vive lui brûlait les yeux.

Je me suis cognée la tête en tombant, pensa-t'elle vaguement. Elle rouvrit les paupières, plus parcimonieusement cette fois, les cils mi-clos. La lumière brûlait moins, cette fois, et elle put distinger, brouillée, l'image d'une jeune fille brune et d'un lynx au pelage doré. Isamaru!, se dit-elle soudain, Où peut-il être?

Elle tourna la tête avec difficulté et put enfin apercevoir son compagnon, hélas, dans un piteux état! Sa belle fourrure était maculée de sang -le sien et celui des Charrs- et sa patte avant gauche formait un angle bizarre, comme si... Oh! Non, il a la patte cassée!

Cette pensée lui fit équarquiller les yeux, provoquant une nouvelle vague de souffrance, augmentée par la pensée de l'infirmité du félin de Melandru.

Ne t'inquiète pas, entendit-elle, Je vais lui poser une atelle, et il sera comme neuf d'ici quelques semaines. Quand au reste, il est trop vif et souple pour avoir subi des dommages bien graves. Ton cas m'inquiète beaucoup plus.

Louve ouvrit la bouche mais l'inconnue l'arrêta d'un geste: Ne dis rien; tu te fatiguerais inutilement, et Dwayna sait que tu as besoin de toutes tes forces. Comment as tu pu survivre à ce combat?
C'est gràce à toi, dit elle, provoquant un froncement de sourcils désapprobateur de l'autre, et à ton lynx, si nous sommes encore en vie, Isa et moi. Merci.
Oh! ne t'inquiète pas, c'est normal. Je n'allais pas te laisser t'amuser seule, si?color]

Elle avait dit cela avec une espièglerie dans le regard qui plut tout de suite à Louve.
[color=blue]Tiens, mange, lança t'elle en même temps qu'un morceau de viande que Louve attrapa au vol.
Merci.

Puis, jetant un regard vers son familier:
Pourquoi tarde-t'il tant à se réveiller?
Un Charr lui est tombé sur la tête, répondit laconiquement sa sauveuse. Il a fallu le découper en morceaux pour le dégager, tellement il était lourd.

Louve posa soudain sur la nourriture un regard beaucoup plus dubitatif.

Oh, ne crains rien! C'est de la viande d'un oiseau Moa que je chassais avec Nicomm quand il t'a senti. Et moi, c'est Zarine, Zarine Tharne, précisa t'elle.

A SUIVRE...

Si j'ai utilisé le nom de Zarine, c'est uniquement pour relater l'entrée de Louve dans le Clan. J'ignore totalement si tu as ou non un lynx nommé Nicomm, et pour tout te dire je m'en moque un peu, vu que, si j'ai appelé mon personnage par ton nom, c'est pour que les autres ne soient pas perdus dans l'océan des noms compliqués et autres. Cela dit, si tu veux, je peux changer, y a pas de problème.

Au fait Horus je suis sure que tout le monde attend avec impatience les 25 prochaines Maximes... lol

OUAIS! UN TROISIEME VOTE!
Je présume qu'il vient de Light... La prochaine fois, poste.

Louve lança un regard acéré à son interlocutrice:
Zarine? LA Zarine? Le maitre du Clan de la Flamme?
Comment me connais tu?, demanda celle ci, passablement déconcertée.
J'ai entendu parler de vous, il y a longtemps. En effet le Maitre de mon village était en contact avec les Valar, qui se font nommer dans ces contrées les Administrateurs des Mondes Persistants. Vous seriez l'une des guildes les plus actives ayant vu le jour depuis la fin des Guerres des Guildes.
Zarine était manifestement ravie de ce constat mais répliqua:
Vraiment? Eh bien il faudra que je pense à en remercier mes officiers.
Puis, après un silence:
Alors, tu n'es pas de Tyrie?
Non, mais je suis déja venue, il y a trois ans.
Elle grimaça:
Tu as du trouver Ascalon davantage à ton gré l'autre fois, non?
En effet.

Louve poussa alors un gémissement; la douleur, jusqu'alors maintenue en bride par son inflexible volonté, se faisait de plus en plus insistante.
Tout en parlant, Zarine avait terminé de poser l'atelle d'Isamaru. Louve lui tendit un bocal d'onguent:
Utilise ça. Enfin, fais vite, quand même... C'est un onguent Sodan. Il est efficace, mais il fait mal.

Considérant la façon dont Louve avait pu deviser avec elle comme si de rien n'était, Zarine ne vit aucune raison de mettre sa parole en doute. louve se flanqua le poing dans la bouche -le poing gauche, nota Zarine, afin de ne pas abimer celle qui manierait la corde de l'arc.

Quand Louve retira sa main, elle n'avait pas libéré une plainte.
Mais ses doigts dégoulinaient de sang.
Son sang.

Dites c'est gentil de voter mais vous pouvez poster un peu?

Louve essuya d'un geste nonchalant sa main sur son armure... Ce qui n'était pas très utile, vu la quantité de sang dont celle ci était déja imbibée...

Zarine se pencha sur Isamaru et murmura une formule destinée à accélérer la guérison de sa patte. Louve remarqua que toutes les égratinures, coupures et autres contusion que le félin, en dépit de sa souplesse et de sa rapidité, n'avait pu éviter. D'une voix enrouée -trop de sang avalé, sans doute- elle constata:
Tu es une moniale?
Oui. Enfin... novice. Je maitrise surtout les sorts de base. C'est pourquoi ton onguent m'a été très utile. Enfin..., se reprit-elle en se mordillant la lèvre, je ne pensais pas que... hum.
Ne t'inquiète pas pour ça.Louve sourit bravement.Puis qui, de toute façon, t'a donné ce pot?

Tentant vaillamment de détourner la conversation, Zarine reprit d'un ton enjoué (c'était du moins le meilleur équivalent qu'elle parvint à fournir):
Et donc, qu'est ce qui t'amène dans les ruines d'Ascalon?
Louve fixa sur elle son regard en amande, se demandant jusqu'à quel point il lui était possible de se livrer. La flamme de sympathie et de comphréhension -sans porter jusqu'a la condescendance- qui brillait dans les yeux clairs de son vis à vis la décida; et elle se mit à lui raconter la raison de sa présence en ces lieux désertés.
Elle décida cependant de minimiser l'importance de son role, présentant l'assassin comme quelqu'un d'inconnu d'elle, mais de puissant, et à l'origine de cette désolation.

En dépit de la chaleur du feu, à cette description, Zarine frémit.
En dépit de tout ton courage je doute que tu y arrives seule...
Je sais...

Louve décida ensuite de rejoindre le Clan de la Flamme, ou un tres bon accueuil lui fut fait.

Elle devint officier.

Vainquit le mal.

(enfin j'espere j'ai pas encore fini le jeu!!!

Et ceci est la

FIN.

Oui je sais la fin c'est un peu baclé mais bon... La flemme! (comme dirait mon frere)

C'est génial mais...le bleu fluo ça fait mal aux yeux a force^^

En tout cas super histoire